Les États membres de l'Union européenne sont parvenus à un accord en faveur de la proposition de la Commission européenne sur les perturbateurs endocriniens présents dans les produits phytopharmaceutiques. La notion couvrira tant les perturbateurs « avérés » que « présumés ». Un premier document d'orientation devrait être publié à l'automne, en vue de l'établissement d'un système réglementaire la définissant, pour permettre l'évaluation et, le cas échéant, le retrait d'une substance. La Commission précise qu'elle va également travailler sur les perturbateurs endocriniens présents ailleurs que dans les pesticides ou les biocides, et notamment dans les emballages alimentaires. Côté français, Nicolas Hulot, ministre de la
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