« Le premier confinement a modifié l’environnement des consommateurs, offrant un nouveau contexte à de nouvelles prises de décisions alimentaires », résume Lucile Marty, chargée de recherche au Centre des Sciences du Goût et de l’Alimentation de Dijon (Inrae). Elle présentait, mardi, une enquête, réalisée auprès de près d’un millier de personnes en avril dernier, lors d’une web conférence organisée par le FFAS (Fonds français pour l’alimentation et la santé).
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Mais surtout, et c’est un assez surprenant, les viandes rouges et charcuteries ont montré une forme de résistance. Les adeptes de la « durabilité » ne sont
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