Lors du sommet « Choose France », le président de la République Emmanuel Macron a réuni près de lundi dernier, au château de Versailles. L’occasion de montrer à quel point l’Hexagone était une terre accueillante pour les investissements industriels.
La veille, Avec Coca-Cola European Partners qui prendra en charge la moitié de cette enveloppe pour ses cinq sites français, les capacités d’embouteillage seront augmentées et les équipements modernisés. Par ailleurs, Coca-Cola, qui soutiendra les Jeux Olympiques de Paris en 2024, consacrera autant au développement de ses marques ainsi que de nouvelles boissons.
Parmi d’autres investissements, le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation s’est fait l’écho de à Boulogne-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais, pour produire, après un investissement de 175 millions d’euros, 10 000 tonnes de saumon par an.
En fin de semaine dernière, dans le cadre du Pacte Productif, Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, dévoilait identifiés pour apporter des solutions « clés en main » permettant d’attirer de nouvelles implantations « de grande ampleur ». Immédiatement ou rapidement disponibles grâce à l’anticipation des procédures administratives, ils ont été présentés à Versailles lors de Choose France. Et cette liste devrait être complétée durant l’année, visant tous les secteurs industriels.
Réciproquement et au même moment, le palais de l’Élysée mettait à l’honneur Parmi eux, onze produits alimentaires avaient été sélectionnés venant de François Doucet Confiseur (pralines aux amandes), Gabriel Coulet (roquefort bio), Jeannette (madeleine), Thomas Hine & Co (cognac), La Vallée du Maumont (pâtes sèches fermières), Fallot (moutarde), Loc Maria Biscuits (Gavottes), Nataïs (pop-corn), Reitzel (cornichon français), distillerie Neisson (rhum biologique) et Délices de Guyane (mélange de piment végétarien).