L’Adepale « ouvre une nouvelle voie pour l’agroalimentaire français », annonce l’Association des entreprises de produits alimentaires élaborés (*). « Nous voulons désormais aller plus loin que nos missions traditionnelles », explique : « nos entreprises de taille moyenne voire petite, réparties sur tout le territoire, méritent plus d’attention ». C’est ce qui explique , à l’exception d’un de ses six syndicats, décidé au mois de juillet dernier. « L’Ania est trop influencée par les problématiques des multinationales qui occupent un poids significatif dans sa gouvernance », estime Jérôme Foucault.
Et d’ajouter : « la crise actuelle a remis en lumière nos vertus », ce qui légitimerait l’Adepale à jouer
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