François Gay-Bellile
présidence de Coca-Cola France
(en photo)
voir RIA News n°652
Mais c'est surtout le deuxième axe qui retiendra l'attention. Contre l'image monoproduit dont peine à se départir le groupe, François Gay-Bellile évoque ses . Il cite le Japon, qu'il connaît bien pour en avoir été l'un des dirigeants de la filiale nipponne : les marques classiques (Coca, Fanta, Sprite) n'y représentent que 25 % de l'activité, aux côtés de thé, de café, d'eau ou même de soupes. En France, elles pèsent encore 90 %, malgré la réussite récente de Fïnley ou la reprise d'Innocent.
Comme le désengagement de Beverage Partners Worldwide
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