Jacques Trottier, président de Labeyrie Fine Foods, veut développer les ventes de son groupe sur le marché végétal et international d’ici 2030, en misant sur l’innovation et de nouveaux moments de consommation. Le groupe investit en parallèle 100 millions d’euros dans ses usines en France pour les décarboner et gagner en compétitivité.
RIA : Comment se profilent les fêtes de fin d’année pour le groupe, dans un contexte politique et économique chahuté ?Jacques Trottier : Selon les études, les Français n’ont jamais été aussi impatients de fêter Noël. Globalement, nous sommes confiants. Nos marques restent leaders de leurs catégories …