L'Association nationale de la meunerie française (ANMF) regrette que le projet de loi de finances 2017 ne prévoie pas la suppression de la « taxe farine ». Représentant 64 millions d'euros, cette dernière « absorbe nos bénéfices depuis des années et, les difficultés conjoncturelles liées aux mauvaises récoltes s'additionnant, notre rentabilité est aujourd'hui à zéro », s'insurge son président, Lionel Deloingce.
L'ANMF souhaite sa suppression dans la loi de finances 2017
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