D’après la presse italienne, Lactalis négocierait l’acquisition du numéro un du , Nuova Castelli. Déjà propriétaire du géant transalpin Parmalat, entre autres, le groupe français compléterait ainsi son portefeuille d’AOP européennes. L’amont italien ne l’entend pas de cette oreille et en appellerait aux secours du groupe local Granarolo. Si Lactalis – bien sûr – ne commente pas, le Consortium du Parmesan s’est montré plus mesuré, estimant que « l’intérêt de Lactalis témoigne de la bonne santé de notre filière et de son attractivité financière au niveau international », à condition que le cahier des charges soit respecté.
L’attrait controversé de Lactalis pour le parmesan
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